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    JUSTE CAUSE

    (JUST CAUSE)

    15 MARS 1995

     

    juste-cause.jpg

    Réalisation

    Arne GLIMCHER

    Scénario

    Jeb STUART

    Directeur de la photographie

    Lajos KOLTAI

    Musique

    James HOWARD

    Production

    Arne GLIMCHER

    Distribution

    WARNER BROS

    Durée

    105 minutes

    Paul ARMSTRONG

    Sean CONNERY

    Tanny BROWN

    Laurence FISHBURNE

    Bobby FERGUSON

    Blair UNDERWOOD

    Laurie ARMSTRONG

    Kate CAPSHAW

    Blair SULLIVAN

    Ed HARRIS

     

    Dans la petite ville d’Ochopee, en Floride, Bobby Earl Ferguson, un jeune Noir éduqué, est arrêté pour le meurtre d’une fillette blanche, Joanie Shriver. Interrogé sans ménagement par l’inspecteur Tanny Brown et son adjoint Wilcox, il finit par avouer, pour ensuite se rétracter. Malgré les efforts de McNair, son avocat, il est condamné à mort et tous les recours étant épuisés, il est, huit ans plus tard, sur le point d’être exécuté. À sa demande, sa grand-mère Evangeline sollicite l’aide de Paul Armstrong, un adversaire de la peine capitale qui enseigne le droit à l’université de Harvard. Celui-ci se rend donc à Ochopee afin de rouvrir le dossier. Son épouse Laurie, dont les parents Phil et Libby Prentiss habitent la région, l’accompagne, ainsi que leur fille Kate. Très vite, Paul se rend compte que la condamnation de Bobby repose sur des témoins peu fiables, des preuves aléatoires et sur l’animosité farouche de Tanny qui, connaissant très bien la victime, aurait dû être dessaisi de l’enquête. Il apprend aussi qu’antérieurement à l’affaire Shriver, Laurie, alors assistante du procureur, avait fait arrêter Bobby sur des présomptions de viol et qu’il avait été passé à tabac pendant sa garde à vue. Bobby confie à Paul que le véritable coupable est son voisin de cellule, le tueur en série Blair Sullivan. Ce dernier indique l’endroit où se trouve l’arme du crime et on trouve dans son courrier une lettre l’incriminant. Bobby est donc libéré, mais Tanny reste, à juste titre, méfiant. Peu après, Paul découvre en effet les parents de Blair égorgés. Le psychopathe avait, par de faux indices, aidé à innocenter Bobby afin d’obtenir de lui ce «petit service». Quant à Bobby, son but était de se venger de Laurie, responsable de la garde à vue au cours de laquelle il avait été torturé et châtré. Après avoir tué Wilcox, chargé de le filer, il enlève Laurie et Kate et les emmène dans les marais où Paul, aidé de Tanny, viendra enfin à bout de lui.

    Presque deux ans sans Sean CONNERY, mais cette année 1995 sera marquée par sa présence dans 3 films : le premier « just cause » est un thriller soigné mais pas génial. Le cahier des charges est rempli, mais sans originalité. La principale qualité du film de Arne GLIMCHER (hein, qui ça !?) est évidemment le casting de haute qualité, en particulier la présence d’un Laurence FISHBURNE pas encore gavé de Twix. Si en plus on ajoute Ed HARRIS on devine qu’on va passer un bon moment, mais cette aimable série B s’oublie rapidement. Le succès n’est pas énorme, aux USA le film rapporte ni plus ni moins ce qu’une série B est censée remporter, le film n’atteint que la deuxième place du Box Office hebdo. En France, après une première semaine correcte, le film sort rapidement du circuit de l’exploitaton.

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

    479 435

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

    205 526

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    75 048

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    9

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    34

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    2 207

    1er JOUR Paris

    8 729

    COTE DU SUCCES

    * *

    Recettes du film USA

    36.8 M$ 

    (= 50 M$ 2007)


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