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    UNE SAISON BLANCHE ET SECHE

    (A DRY WHITE SEASON)

    8 NOVEMBRE 1989

     

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    Réalisation

    Euzhan PALCY

    Scénario

    Euzhan PALCY 

    Directeur de la photographie

    Pierre-William GLEN

    Musique

    Dave GRUSIN

    Production

    Paula WEINSTEIN

    Distribution

    U.I.P

    Durée

    106 minutes

     

     

    Benjamin du TOIT

    Donald SUTHERLAND

    Suzan du TOIT

    Janet SUZMAN

    Mélanie BRUWER

    Susan SURANDON

    Ian McKENZIE

    Marlon BRANDO

     

     

    Afrique du Sud, 1976. De jeunes manifestants noirs de Soweto sont tués par la police. D'autres sont arrêtés, parmi lesquels Jonathan Ngubene, dont le père, Gordon, est jardinier chez Benjamin Du Toit, professeur d'Histoire blanc, Afrikaner, bien pensant mais libéral. Celui-ci intervient auprès des autorités, qui ne donnent aucune raison plausible à la disparition de l'enfant. En fait. Jonathan est mort torturé, Gordon en acquiert la certitude par divers témoignages, dont la recherche lui vaut d'être à son tour arrêté et torturé à mort. Les traces sur son corps, rendu à la famille, emplissent d'effroi un Du Toit jusque-là incrédule qui, dès lors, use de tout son pouvoir pour convaincre le célèbre avocat anti-apartheid Ian McKenzie de plaider pour la veuve, Emily, partie civile. Le procès met en accusation le tortionnaire capitaine Stolz. Mais l'issue du verdict ne faisait aucun doute. Du Toit obtient pourtant le rapport d'autopsie de Gordon, bien sûr accablant. Et Stolz ne cesse de le harceler pour récupérer ce document. Susan et Suzette. épouse et fille de Du Toit quittent celui-ci, considéré comme traître communiste et exclu de son collège en même temps que son fils Johan qui, lui, reste à ses côtés. Père et fils échappent à un attentat, tandis que Stanley, ami de Gordon, vient leur annoncer l'assassinat d'Emily, qui avait refusé de parfir à Zoulouland. Une journaliste blanche progressiste. Melanie Bruwer. réussit avant d'être expulsée, à ramener le témoignage d'un petit camarade de cellule de Jonathan, Wellington Setole, réfugié en Zambie. Suzette trahit son père en remettant à Stolz le document recherché. Mais c'est un faux. Du Toit savait à quoi s'en tenir. Stolz se venge en tuant Du Toit, avant d'être supprimé par Stanley. Mais le jour sera fait sur ces agissements de la police.

     

    Durant huit ans on ne vit plus Marlon BRANDO au cinéma. C’est avec curiosité que le public le redécouvre dans un beau film mais très dur film contre l’Apartheid. BRANDO n’a que deux scènes dans le film. Il participe au film car il sait que sa présence peut engranger des entrées et le sujet lui plait. La défense des minorités a toujours été une cause importante pour lui.  Son intervention au tribunal est une belle scène. Cette fois il dispose d’un appareil auditif pour réciter son texte, ce qui ne se voit pas à l’écran. Le film est beau, et la composition de Donald SUTHERLAND est impeccable, comme d’habitude. Pour ce rôle Marlon BRANDO fut nommé une dernière fois aux Oscars. Le film a fait une jolie carrière sur la longueur à Paris.   

     

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

     

    526 588

     

     

     

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

     

     

    150 644

     

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    41 535

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    21

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    19

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    2 186

    1er JOUR Paris

    3 894

    Recettes US

    3.7  M$

    (6.23 M$ 007)

    COTE DU SUCCES

    * *

     


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