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BOX OFFICE PARIS BANLIEUE CUMUL 1973

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FILM

ENTREES

REALISATEUR

INTERPRETE

INTERPRETE

Aventures de Rabbi Jacob, Les

2 028 282

OURY

DE FUNES

GIRAUD

Mon nom est personne

1 212 084

VALERII

HILL

FONDA H.

Emmerdeur, L'

991 550

MOLINARO

VENTURA

BREL

Grande bouffe, La

978 179

FERRERI

PICCOLI

MASTROIANNI

Vivre et laisser mourir

913 342

HAMILTON

MOORE

SEYMOUR

Blanche neige et les 7 nains (réédition)

912 551

WALT DISNEY

ANIMATION

 

Magnifique, Le

905 277

DE BROCA

BELMONDO

BISSET

Moi y'en a vouloir des sous

827 236

YANNE

YANNE

BLIER

Mais où est donc passée la 7ème compagnie ?

820 359

LAMOUREUX

MONDY

LEFEBVRE

Grand bazar, Le

723 275

ZIDI

CHARLOTS

GALABRU

Big boss

720 624

WEI

LEE B.

TIEN

Tout ce que vous avez voulu savoir sur le sexe

sans avoir jamais osé le demander

694 317

ALLEN

ALLEN

WILDER

Héritier,l'

682 305

LABRO

BELMONDO

DENNER

Deux hommes dans la ville

668 210

GIOVANNI

GABIN

DELON

Aventure du Poseidon,l'

648 435

ALLEN I.

HACKMAN

BORGNINE

Elle court, elle court, la banlieue

600 711

PIRES

KELLER

HIGELIN

Crépuscule des dieux, Le

587 964

VISCONTI

BERGER

SCHNEIDER

Cris et chuchotements

582 787

BERGMAN

ULLMANN

ANDERSON

Bonne année, La

560 967

LELOUCH

VENTURA

FABIAN

Traitement de choc

550 779

JESSUA

GIRARDOT

DELON

Quelques messieurs trop tranquilles

526 082

LAUTNER

GALABRU

LEFEBVRE

Il n'y a pas de fumée sans feu

510 982

CAYATTE

GIRARDOT

DARC


Officiellement le Film Français a l'époque avait présenté Rabbi Jacob a 1 500 000 entrées Paris Périphérie, ce qui lui a valu le titre d'un des plus grand succès all time. Mais il manquait bien des salles de banlieues dans le référentiel de la revue, ce qui fait que le célèbre film de Gérard OURY est en fait double millionnaire ce qui le positionne en très bonne place dans le cumul 1969/73, il faut dire qu'être double millionnaire est un honneur réservé aux plus grands films.
Confirmant les succès des "Trinita" obtenus sur la durée, Terence HILL obtient son plus grand succès personnel, ce qui est normal c'est son meilleur film. Mais cette fois, le succès a été immédiat à l'instar des principaux pays europeens hormis l'Angleterre réfractaire à l'acteur.
"L'emmerdeur" le merveilleux film de Francis VEBER mis en scène par Edouard MOLINARO rate le million d'un cheveu, mais qu'importe, le film reste un des plus grands succès de Lino (et de Jacques).
Scandale au festival de Cannes, "La grande bouffe" est resté durant de longues semaines en tête du box office parisien. Le film est resté visible longtemps dans les salles dites d'art et  d'essai. Sa belle position est donc logique.
Présenté comme un BOND inférieur à Sean CONNERY, le brave Roger MOORE a pourtant obtenu des résultats qui n'ont rien à envier à son auguste prédecesseur. La preuve en est avec un très bon BOND "Vivre et laisser mourir".
On ne présente plus "Blanche Neige" qui, après une exploitation 1962 déja très réussie, séduit un nouveau public en 1973. Sorti naturellement pour les fêtes de fin d'année 73, le film va dominer l'exploitation de l'hiver 1973/74 de la tête et des épaules.
Toujours régulier, Jean Paul BELMONDO tutoie les sommets avec son épatant "Le magnifique" encore un scénario de Francis  VEBER, soit dit en passant.
Comment allait réagir le public de Jean YANNE après son immense succès de "tout le monde il est beau..." ? Très bien en fait, le résultat final de "Moi y en a vouloir des sous" est moins spectaculaire, mais on ne va pas faire la fine bouche avec 800 000 entrées au compteur.
Le succès surprise de "La 7ème compagnie" s'est construit semaines après semaines au vu d'un fameux bouche à oreille. Le film est d'ailleurs un petit classique de la comédie. Une suite va tout de suite être mise en boîte.
Le succès des CHARLOTS s'érode un peu à la longue, mais "Le grand bazar" de Claude ZIDI a encore emmené plus de 700 000 spectateurs dans les salles, pas de quoi paniquer.
René CHATEAU a eu bien du nez en distribuant les films de Bruce LEE dans son cinéma, le regretté "Hollywood boulevard". Les jeunes adorent, et le bouche à oreille est fulgurant. Les distributeurs "classiques" doivent encore s'en mordre les doigts aujourd'hui.
 
     

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