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LA BATAILLE DES ARDENNES - CHARLES BRONSON BOX OFFICE 1966

 

LA BATAILLE DES ARDENNES

(BATTLE OF THE BULGE)

    16 DECEMBRE 1965 (USA)

4 MAI 1966

 

 

 


Réalisation

Ken ANNAKIN

Scénario

Philip VORDAN, M SPERLING, J MELSON

Directeur de la photographie

Jack HILDYARD

Musique

Benjamin FRANKEL

Production

M SPERLING, P YORDAN

Distribution

WARNER BROS

Durée

162 minutes

Tournage

 

Le lieutenant-colonel Kiley

Henry FONDA

Le colonel Hessler

Robert SHAW

Le général Grey

Robert RYAN

Le colonel Pritchard

Dana ANDREWS

Le sergent Duquesne

George MONTGOMERY

Louise

Pier ANGELI

Le sergent Guffy

Telly SAVALAS

Major WOLENSKI

Charles BRONSON

 

 

Décembre 1944. La guerre semble toucher à sa fin et les Alliés font preuve d'optimisme. Pourtant, le lieutenant-colonel Kiley, des services secrets américains, annonce qu'il faut s'attendre à une contre-offensive imminente dans le secteur belge des Ardennes. Personne ne le prend au sérieux. Rappelé du front russe par le haut commandement allemand, le colonel Hessler a été désigné pour prendre la direction des opérations. Profitant du mauvais temps et de l'effet de surprise, la division de Panzers qu'il dirige réussit à enfoncer les lignes alliées tandis qu'un groupe de saboteurs infiltrés derrière le front et parlant parfaitement anglais réussit à désorganiser la riposte. Mais les Alliés se ressaisissent vite et imposent un repli à la vague d'assaut de Hessler, tandis que Kiley estime que les assaillants risquent de se retrouver bien vite à court d'essence. Leur but, en attaquant par surprise, consistait à s'emparer de stocks de carburants dont certains saboteurs s'étaient déjà rendus maîtres. Aidé du lieutenant Weaver et de ses hommes, Kiley réussira à reprendre les stocks et à empêcher la jonction: les derniers tanks - Tigre - s'embrasent en même temps que s'envoie en fumée le dernier espoir d'Hitler...

 

Pour Charles BRONSON, la vie d’acteur devient difficile. Malgré des rôles à la télévision, financièrement la vie de famille est difficile aux USA. C’est donc une bonne nouvelle lorsqu’il est embauché pour tenir un petit rôle dans une superproduction anglaise « la bataille des Ardennes ». Il est certain que sa prestation dans « la grande évasion » y a été pour quelque chose.

Les ambitions de Ken ANNAKIN pour le film sont importantes. Réalisateur de seconde équipe sur « le jour le plus long », il  s’ y entend pour mettre en scène de grandes fresques.

Le budget permet de s’offrir une bonne distribution. Coté anglais, Bernard SHAW est la tête d’affiche en officier Allemand. Il y est d’ailleurs excellent. Henry FONDA apporte sa prestance et son statut de star américain. Comme d’habitude Robert RYAN parvient à se glisser dans une superproduction sans que l’on le remarque particulièrement. Plus étonnant la présence de James Mc Arthur, dans un rôle important, mais qui n’en profitera pas pour percer au cinéma. Il sera plus connu dans le rôle de Danny, l’adjoint de McGarrett dans « Hawaï police d’Etat ».

Charles BRONSON a malheureusement un rôle mineur.  Il incarne un major américain tenant un blockhaus en première ligne. Capturé par Robert SHAW il lui récite la convention de Genève ce qui lui sauve la vie et celle de ces hommes.

Le film impressionne par les moyens mis en œuvre. Il y a notamment un nombre de blindés des plus impressionnants. Explosions à gogo, batailles contre les blindés, tous les éléments sont là pour donner un très bon film de guerre. Une scène émouvante d’exécution dans la neige de prisonnier souligne la barbarie de cette guerre. Moyennant quoi une goutte de sang dans la neige n’aurait pas été de trop pour donner du réalisme à une scène où cinquante hommes sont exécutés à la mitrailleuse.

Il manque cependant au film un petit quelque chose d’indéfinissable pour en faire un classique, même du genre.

Lancé dans une salle à Paris selon des recettes éprouvées, le film ne réalise pas une audience attendue. Le résultat final est fort honnête, le film figure dans les tous les tops 20 européens, mais ne parvient pas à entrer dans la catégorie des très gros succès. Pour BRONSON, cela ne change pas grand-chose à son statut. Il reste un acteur de complément et chasse les rôles. A 45 ans, d’autres auraient pu se désespérer.  

 

ENTREES France

 

1 867 718

 

 

Total ENTREES Paris

 

 

270 393

 

ENTREES Paris

 

1ère semaine  n° 9

 

 

 

14 232

 

NOMBRE DE SEMAINES PARIS

19

NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

1

Moyenne entrées par salles 1ère semaine

14 232

1er JOUR Paris

 

BUDGET

 

 

Recettes USA

 

 

Recettes mondiales

 

BOX OFFICE ANNUEL USA

 

BOX OFFICE ANNUEL France

N° 19

BOX OFFICE ANNUEL Italie

N° 13

BOX OFFICE Allemagne – 

 

BOX OFFICE Espagne –    1 988 785 entrées

 

COTE DU SUCCES

* *

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