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LES PLEINS POUVOIRS - BOX OFFICE CLINT EASTWOOD 1997

 

LES PLEINS POUVOIRS

(ABSOLUTE POWER)

21 MAI 1997

  

 

LES PLEINS POUVOIRS - BOX OFFICE CLINT EASTWOOD 1997

 

 

  • Réalisation : Clint Eastwood
  • Production : Clint Eastwood et Karen Spiegel pour Malpaso
  • Scénario : William Goldman d'après le roman éponyme de David Baldacci
  • Musique : Lennie Niehaus
  • Directeur de la photographie : Jack N. Green
  • Le tournage a eu lieu du 3 juin 1996 au 14 août 1996
  • Sociétés de production : Castle Rock Entertainment, Columbia Pictures Corporation et Malpaso Productions
  • Sociétés de distribution : Columbia Pictures (cinéma; USA), UGC Fox Distribution (UFD) (cinéma; France), Warner Bros. Pictures (vidéo)
  • Format : couleur (Technicolor) - 2.35:1 - son Dolby Digital - SDDS - 35mm
  • Durée : 121 minutes
  • Genres : policier, thriller

 

  • Clint Eastwood (VF : Jean-Claude Michel)  : Luther Whitney, cambrioleur
  • Gene Hackman (VF : Jacques Richard) : Alan Richmond, président des États-Unis
  • Ed Harris (VF : Georges Claisse) : Seth Frank, inspecteur de la brigade criminelle de Washington
  • Laura Linney (VF : Catherine Le Hénan): Kate Whitney, fille de Luther et procureur
  • Scott Glenn (VF : Saïd Amadis) : Bill Burton, agent des Services Secrets

 

 

 

Perfectionniste et solitaire, Luther Whitney pratique en virtuose l'art du cambriolage. Alors qu'il est en train d'"opérer" dans la luxueuse villa de Walter Sullivan, un influent philanthrope de Washington, il est surpris par un couple éméché : la maîtresse des lieux, Christy Sullivan, et Alan Richmond, le président des États-Unis en personne ! Dissimulé dans la chambre-forte, masqué par un miroir sans tain, Luther, spectateur malgré lui, observe pétrifié la scène galante, qui dégénère bientôt : Richmond devient violent et Christy ne se laisse pas faire, allant jusqu'à le blesser avec un coupe-papier. Les gardes du corps de Richmond, Burton et Cullin, font alors irruption et abattent la jeune femme. Gloria Russell, la secrétaire particulière du président, présente elle aussi, décide de tout maquiller en... crime de cambrioleur. Mais Luther récupère le butin et le coupe-papier portant les empreintes digitales de Richmond et maculé de son sang. Fin limier chargé de l'enquête, Seth Frank doute fortement des apparences du crime. Il soupçonne vite Luther du vol, mais pas du meurtre : Luther n'a jamais tué, ce qui lui vaut l'estime du policier. Lors d'une conférence de presse, Richmond, qui doit son élection à Sullivan, l'assure hypocritement de sa compassion. Écœuré, Luther, qui projetait de quitter le pays, y renonce et décide de confondre les véritables assassins.Or Luther a une fille, Kate, qu'il a négligée jusque-là, et qui est devenue procureur. En visitant avec Seth la maison de son père, Kate découvre qu'il a toujours veillé sur elle de loin. Burton propose à Seth la coopération des services secrets, ce qui lui permet de le mettre sur écoutes, et ainsi d'élaborer un traquenard lorsque Luther se rend à un rendez-vous avec Kate fixé par Seth. Alors que Cullin et McCarty, un tueur engagé par Sullivan, le mettent en joue, Luther échappe miraculeusement à l'attentat et disparaît. Sur ordre du président, Cullin précipite Kate et sa voiture du haut d'une falaise. Il s'introduit ensuite dans l'hôpital où elle a été transportée; mais Luther le tue avant qu'il ait pu agir. Puis il révèle toute l'affaire à Sullivan et lui remet même le coupe-papier. Pris de scrupules, Burton se tire une balle dans la tête. Seth arrête Gloria. Et on apprend que le président s'est suicidé alors que son vieil ami Sullivan lui rendait une visite inopinée. Quant à Luther, il sait que désormais Seth veillera sur Kate...
 

*************************************

 

Après d’énormes succès artistiques, Clint est considéré comme un des meilleurs réalisateurs au monde. On se demande quel est le nouveau film qu’il nous réserve et c’est un retour  au thriller, genre qu’il maîtrise depuis de nombreuses années. Toujours entouré de son équipe, Clint livre un film solide, sans réelle surprise. La principale qualité du film vient du casting du film, encore du trois étoiles. Clint retrouve Gene HACKMAN, son acolyte d’ « impitoyable » ainsi que Ed HARRIS, un des meilleurs acteurs US. De toutes façon, la critique aime tellement Clint qu’elle loue la qualité de cette histoire d’un Gentleman cambrioleur qui met les pieds dans le plat dans une histoire de meurtre, mélant ni plus ni moins que le Président des Etats-Unis. Malgré les invraisemblances criantes, le film tient le coup, même si ce n’est pas un chef d’œuvre de Clint, mais il ne peut pas en pondre tous les quatre matins. Du reste, le film marche correctement aux Etats-Unis et en France, le film fait le score habituel d’un Clint en vitesse de croisière, soit un million d’entrées environ. Mais on attend mieux du maître…. Il est évident que Clint EASTWOOD s'est fait plaisir avec un casting hors catégorie dominé par Gene HACKMAN dans une intrigue qui ressemble un peu à "Sens unique" avec Kevin Costner.  Mais ne boudons pas notre plaisir, cela reste un très bon film qui se laisse apprécier.

 

LES PLEINS POUVOIRS BANDE ANNONCE VO

 

ENTREES France

 

968 994

 

 

ENTREES Paris

 

 

322 270

 

ENTREES Paris 1ère SEMAINE

106 920

NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

21

NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

48

Moyenne entrées par salles 1ère semaine

2 228

1er JOUR Paris

16 402

1ère semaine France

298 196

Nombre de salles France -1ère semaine

449

Budget

50 M$

Recettes US

50  M$

Entrées Europe

3.7 millions

COTE DU SUCCES

* *

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S
J'aime ce film, c'est vrai que ce n'est pas pour autant un des meilleurs films réalisés par Clint Eastwood. Cependant sur un scénario simple avec des invraisemblances, il nous livre une oeuvre sans fioritures où chaque scène a sa place, avec des personnages tout en finesse et tout en retenue (Ed Harris et Scott Glenn les campent merveilleusement). Une leçon de mise en scène au service d'un scénario moins brillant mais efficace. Enfin, ce qui fait "accessoirement" plaisir, le film est à contre-courant de la mode "filmique" en évitant un montage hypercut et autre ramping. Cela repose...
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