-
BOX OFFICE USA DU 17 JUILLET 1969 AU 23 JUILLET 1969
TITRE
SEM
CUMUL
REALISATEUR
ACTEUR
ACTEUR
1
THE APRIL FOOLS
(Folies d'avril)8
1M$
ROSENBERG
LEMMON
DENEUVE
2
TRUE GRIT
(100 dollars pour un shérif)6
1M$
HATHAWAY
WAYNE
DARBY
3
LOVE BUG
(Un amour de Coccinelle )18
5M$
STEVENSON
JONES
LEE
4
ROMEO AND JULIET
(Roméo et Juliette)41
6M$
ZEFFIRELLI
WHITING
HUSSEY
5
GOODBYE COLUMBUS
15
4M$
PEERCE
BENJAMIN
MacGRAW
6
THE WILD BUNCH
(La horde sauvage)5
1M$
PECKINPAH
HOLDEN
BORGNINE
7
ONCE UPON A TIME IN THE WEST
(Il était une fois dans l'Ouest)6
LEONE
BRONSON
CARDINALE
8
HOW TO COMMIT MARRIAGE
(Inédit )5
1M$
PANAMA
HOPE
GLEASON
9
HARD CONTRACT
(Inédit )5
POGOSTIN
COBURN
REMICK
10
OLIVER32
6M$
REED
MOODY
WALLIS
EASY RIDER (TOP 37)
De Dennis HOPPER - Avec Peter FONDA et Jack NICHOLSON
Wyatt et Captain America disposent d'une grosse somme d'argent, résultat d'une importante vente de stupéfiants. Cette petite fortune permet aux deux motards d'envisager sereinement une traversée des Etats-Unis. Aussi prennent-ils la route de La Nouvelle-Orléans, dans l'intention de participer au carnaval. Un hippie, rencontré en cours de route, les invite à partager le couvert d'une communauté de citadins retournés à la terre. Dans une petite ville du Sud, les deux hommes sont arrêtés pour avoir paradé sur leurs engins sans autorisation. En prison, ils lient connaissance avec un jeune avocat qui s'adonne régulièrement à l'alcool...
Tags : BOX OFFICE USA 1969
-
Commentaires
1renaud soyerMercredi 29 Mai 2013 à 03:16Merci pour cet avis interessant qui salue la présence dans le top US de ces deux grands films. Il est intéressant de constater que le LEONE va connaitre une carrière modeste aux USA, contrairement à son triomphe européen.
Des scores bien en deça de "Butch Cassidy" qui va bientôt sortir aux USA. Un ton plus traditionnel qui va bien sûr prendre la tête du box office et de jolie manière.
Ajouter un commentaire
Extrait d’une critique.
Déboulonner les mythes, casser les icônes,… oui, mais dans quel but ? Car à l’instar d’un Sergio Leone moquant le western hollywoodien en posant les bases du spaghetti, et par la même celles d’une iconographie nouvelle, Peckinpah ne contribue-t-il pas, en racontant la fin pathétique de ses bandits, à leur conférer un rôle mythique.
Mon avis :
Ainsi par le parallèle des sorties de ces deux œuvres westerniennes, Léone essayant de renouveler le genre mais seulement pour un temps très court, alors que Peckinpah enterre sciemment et définitivement le genre d’une manière magistrale.
Deux œuvres pour moi diagonalement opposés et que tout oppose, mais qui toutes deux rassemblent pas mal de spectateurs. Et si la horde reste pour moi est un des derniers chefs-d’œuvre du genre véritable car devenu un classique… l’autre à eut le mérite de saluer le savoir faire un metteur en scène hors normes mais non enraciné…