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ANTHONY MANN BOX OFFICE
France
PARIS
Espagne
Italie
BO US
Dr broadway (inédit)
1942
Moonlight inHavana (inédit)
1942
My best gal (inédit)
1943
Nobody's darling (inédit)
1944
Cible vivante, la
The Great Flamarion1949
405 894
87 253
Sing your way home (inédit)
1945
Two o'clock courage (inédit)
1946
The bamboo blonde (inédit)
1946
Desperate (inédit)
1946
Strange impersonation (inédit)
1946
Railroaded (inédit)
1947
Brigade du suicide,la
T-Men1949
654 238
171 717
Marché de brutes
Raw Deal1949
95 121
72 858
Incident de frontière
Border Incident1951
43 339
18 897
Porte du diable, la
Devil's Doorway1952
620 742
104 573
Livre noir, le
Reign of Terror1950
41 853
32 346
Furies, les
The Furies1951
434 782
105 962
Rue de la mort, la
Side Street1951
28 125
17 046
Winchester 73
Winchester 731951
917 393
248 700
2,25 R
Porte du diable, la
Devil's Doorway1952
620 742
104 573
Affameurs,les
Bend of the River1952
1 190 727
232 359
3 R
The tall target (inédit)
1951
Appât, L'
The Naked Spur1953
963 803
232 788
2,25 R
Port des passions,le
Thunder Bay1954
953 074
153 833
2,4 R
Romance inachevée
The Glenn Miller Story1954
898 708
167 609
7,7 R
Je suis un aventurier
The Far Country1955
848 174
180 609
2,5 R
Stratégic air command
Strategic Air Command1955
1 087 685
243 679
n ° 79
6 R
Homme de la plaine,l'
The Man from Laramie1955
1 662 319
336 040
n ° 65
3,3 r
Charge des tuniques bleues,la
The Last Frontier1956
1 693 481
307 759
Sérénade
Serenade1957
868 572
68 696
Cote 465
Men in War1957
1 087 512
238 413
Du sang dans le désert
The Tin Star1958
1 446 153
295 976
Petit arpent du Bon Dieu,le
God's Little Acre1958
137 614
29 524
Homme de l'ouest,l'
Man of the West1958
1 711 755
414 232
Cid, Le
El Cid1961
4 226 723
638 980
11 179 000 (n°1)
12 R
Chute de l'empire romain,la
The Fall of the Roman Empire1964
2 468 665
455 028
Héros de Télémark, les
The Heroes of Telemark1966
1 300 235
257 104
1 968 558
1,6 R
Maldonne pour un espion
A Dandy in Aspic1968
170 937
14 520
En collaboration avec Didier TREVISAN
Né dans une famille d'origine autrichienne, Anthony Mann commence sa carrière, adolescent, comme acteur puis régisseur de théâtre. En 1934, il fonde Stock Company, une troupe de théâtre dans laquelle jouera notamment James Stewart. En 1938, il est recruté par Selznick International Pictures pour superviser les essais d'acteurs sur des films comme Autant en emporte le vent ou Rebecca. Il devient ensuite assistant de Preston Sturges à Paramount Pictures, puis réalise son premier film, Dr. Broadway. Il va ensuite enchaîner des séries B, comédies et films noirs pour RKO Pictures et Universal. En 1947, il tourne Desperate, premier de ses films dont il aura écrit le scénario. En 1950, il réalise son premier western, La Porte du diable. Il entérine les règles du genre aux côtés des John Ford, Howard Hawks, Henry Hathaway et tire lui aussi le meilleur parti du CinemaScope en filmant les grands espaces. Il inscrit ses westerns dans une vision classique, voire « sensationnaliste » du genre : avant tout, action, et romance en toile de fond. Mais l'importance de ses films s'appuie sur le fait que ses héros sont très souvent des personnages dont le passé trouble affleure, beaucoup plus ambigus que les archétypes universels de John Ford : c'est le cas de James Stewart dans Les Affameurs et de Gary Cooper dans L'Homme de l'Ouest. Ce sont des personnages complexes, en quête de rachat et de reconnaissance d'eux-mêmes. Ses films portent aussi sur les pionniers en tant que tels et leur ambiguïté, livrés à eux-mêmes face à la nature. La sauvagerie lancinante des personnages marque pour l'essentiel les westerns de Mann, aspect que Sam Peckinpah développera encore davantage. Elle est d'ailleurs admirablement incarnée par James Stewart qui tournera sous la direction de Mann dans huit films, dont six westerns. Anthony Mann réalise en 1957 son premier film de guerre, Cote 465 (Men in War), où il reprend avec réussite les recettes qu'il a su si bien appliquer au western et au film noir. Mann est engagé en 1959 comme réalisateur de la superproduction Spartacus avec une pléiade de stars de Hollywood. A la suite de désaccords avec l'acteur et producteur Kirk Douglas sur l'approche du film, le cinéaste est « remercié » par la société de production : Douglas, conscient que Mann ne maîtrise pas complètement son sujet et sa mise en scène, lui annonce au soir du 13 février 1959 qu'il ne fait pas l'affaire. Selon les dires de Douglas, il prend « philosophiquement » la chose. Une version qui apparaît plus que probable puisque les deux hommes se retrouvent en 1965, cette fois sans encombres, pour le film Les Héros de Télémark, aventure historique tirée d'une histoire vraie pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est par ailleurs le dernier film que Mann dirige jusqu'au bout. Malgré la déconvenue de Spartacus, le producteur Samuel Bronston lui confie au début des années 1960, deux grosses productions historiques : en 1962, il réalise Le Cid avec Charlton Heston et Sophia Loren, qui rencontre le succès public et critique. Puis il signe en 1964 La Chute de l'empire romain, production ambitieuse mais qui se solde en revanche par un échec public et critique, scellant pour de longues années le sort des Péplums (genre cinématographique jadis populaire dans les années 1950 et qui ne retrouvera les faveurs du public qu'avec le succès de Gladiator en 2000). En 1967, il meurt subitement pendant le tournage de Maldonne pour un espion, film qui sera achevé par l'acteur principal, Laurence Harvey. ( source Wikipédia)
Tags : ANTHONY MANN, BOX OFFICE USA, JAMES STEWART, WESTERN, LE CID, ANTHONY MANN BOX OFFICE
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