• MISSOURI BREAKS BOX OFFICE MARLON BRANDO 1976

     

    MISSOURI BREAKS

    (THE MISSOURI BREAKS)

    20 OCTOBRE 1976 

     

      MISSOURI-BREAKS.jpg

    Réalisation

    Arthur PENN

    Scénario

    Thomas McGUANE

    Directeur de la photographie

    Michael BUTLER

    Musique

    John WILLIAMS

    Production

    Eliott KASTNER

    Distribution

    Artistes Associés

    Durée

    126 minutes

     

    Lee CLAYTON

    Marlon BRANDO

    Tom LOGAN

    Jack NICHOLSON

    Little Tob

    Randy QUAID

    Jane BRAXTON

    Kathleen LLYOD

    Calivin

    Harry Dean STANTON

     

    David Braxton est un riche éleveur de la région des "Missouri Breaks", situés dans le Montana. Depuis quelques temps, le proprié-taire, reconnu comme un notable local, est fortement irrité par de nombreuses interventions de voleurs de chevaux. De guerre lasse, il ordonne la pendaison d’un jeune pillard qui se trouve être sous la tutelle de Tom Logan. Impressionné par la méthode expéditive dont a su faire preuve David Braxton, Tom Logan s’est résolu à changer radicalement de méthodes. Le voleur de chevaux achète un ranch voisin de celui du notable, habitation qui devra lui servir de relais pour ses activités répré-hensibles. Parallèlement, le malfrat qui n’a qu’un goût médiocre pour le danger, gagnera la confiance de Braxton. D’ici là ses complices ont beau jeu de s’emparer du régisseur du proprié-taire et de le pendre haut et court. Mis à l’épreuve par ce nouveau décès, Braxton loue les services d’un véritable professionnel. C’est un tueur à gages, un "regulator", dont le métier est de débarrasser l’entourage de gredins qui en veulent aux troupeaux. Son nom est Lee Clayton. C’est un tireur redoutable, d’une personnalité cynique et cruelle. Il est de plus très rusé. Il sait observer, faire bon usage de ses jumelles. Clayton se déguise même en clergyman puis en vieille femme, afin de démasquer le coupable. Ses soupçons se portent rapidement sur Tom. Il élimine ainsi, un à un, ses complices. Mais ce vol de chevaux sera sa dernière «affaire». Lee Clayton mourra égorgé au milieu d’une paisible clairière.

     
    Marlon BRANDO se fait de plus en plus rare sur les écrans après deux grands succès. L’annonce d’un film d’Arthur PENN fait saliver, ce qui se transforme en extase lorsque l’on sait qu’il va rencontrer Jack NICHOLSON, soit à peu près les deux meilleurs acteurs du monde ou tout du moins les plus cabotins. Un bon western donc. Le problème, si il y en a, c’est que l’on en attend peut être un peu trop. Arthur PENN cherche trop à casser le mythe du western cinématographique. La première partie est clairement la plus ennuyeuse du film, et Jack NICHOLSON est curieusement sobre. Dès que Marlon BRANDO apparaît le film prend une toute autre dimension. Il est clair que l’acteur a fort bien étudié son personnage. Disposant d’une grande liberté de création, il s’en donne à cœur joie et interprète le rôle d’un tueur sadique, à l’allure indéfinissable et à la tenue changeante. Selon les scènes BRANDO peut apparaître en vieille femme ou affublé d’un chapeau Chinois. Il saisit à son arrivée un cadavre dans un cercueil, prend de la glace du cercueil pour se frotter la joue, il mange des carottes alors qu’il déclare détester les betteraves. Il se parfume au Lilas. L’acteur invente même une arme pour son personnage, une arme à quatre pointes  qu’il a fabriquée avec un démonte-pneu. La confrontation entre NICHOLSON qui menace BRANDO qui patauge dans son bain comme une otarie grasse. La fin est pas mal non plus : Après un plan noir ponctué d’un bruit étrange, BRANDO se réveille et voit NICHOLSON penché sur lui qui lui déclare : « tu sais ce qui vient de te réveiller ? C’est que je viens de te trancher la gorge…. Bref, de grands moments dans un film un poil décevant. Après une semaine correcte à Paris, le film s’effondre rapidement et le score Français est juste convenable. Aux USA le film marche correctement, mais BRANDO s’est encore fait remarquer dans sa composition.  

     

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

     

    508 131

     

     

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

     

     

    144 076

     

    ENTREES Paris TOUTES EXPLOITATIONS

    (116 460 entrées en 1979)

    161 163

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    51 930

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    7

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    20

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    2 597

    1er JOUR Paris

     

    Recettes US -1ère EXPLOITATION 1972

    14  M$

    (51 M$ 2007)

    COTE DU SUCCES

    * *

     


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