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MAURICE RONET BOX OFFICE
France
PARIS
Espagne
Allemagne
Italie
BO US
Rendez-vous de juillet, les
P
1949
1 891 328
596 286
Un grand patron
P
1951
3 737 966
1 058 757
Jeune folle,la
P
1952
1 453 677
372 870
Horizons sans fin
P
1953
1 442 283
169 506
Môme vert de gris,la
P
1953
3 846 158
820 579
Lucrece Borgia
P
1953
3 632 139
929 345
Guerisseur,le
P
1954
1 716 955
286 632
Châteaux en Espagne
1954
802 614
151 618
Maison du souvenir, la
Casa RicordiP
1955
818 073
163 151
n°27
A toi toujours
Casta diva1956
260 164
1 512
Gueule d'ange
1955
809 585
139 847
Les aristocrates
P
1955
2 915 391
701 548
Sorcière,la
1956
1 608 489
303 575
Section des disparus
1956
656 760
109 753
Celui qui doit mourir
1957
1 959 919
335 974
Ascenseur pour l' échafaud
1958
1 913 282
645 960
Agent secret S.Z
Carve Her Name with PrideP
1958
1 477 382
258 183
Cette nuit là
1958
1 022 454
193 664
Ce corps tant désiré
1959
942 092
129 048
Plein soleil
1960
2 445 907
706 553
Carmen de Grenada
Carmen, la de RondaP
1960
1 149 420
66 813
Grandes personnes,les
1961
587 745
97 548
Mon dernier tango
Mi último tango1962
610 622
61 384
Portrait robot
1962
88 612
17 924
Il peccato degli anni verdi (inédit)
1964
Liberté I
1962
178 051
65 615
Rendez-vous de minuit,le
1962
149 442
18 230
Dénonciation,la
1962
419 621
95 844
Meurtrier,le
1963
946 050
234 589
Feu follet,le
1963
495 431
193 663
Les vainqueurs
The VictorsP
1964
1 273 077
135 829
583 134
Parias de la gloire,les
1964
858 935
100 445
Casablanca nid d'espions
1964
891 519
117 470
Ronde, La
1964
1 078 415
376 577
Amador (inédit)
1965
213 320
Tempête sur Ceylan
Tempesta su CeylonP
1965
250 456
Désir, le
Donde tu este1967
21 684
Voleur de Tibidabo, le
La vida es magnificaR
1965
48 521
12 944
303 462
Trois chambres à Manhattan
1965
409 041
105 918
334 813
La longue marche
1966
532 532
81 880
Les Centurions
The Lost Command1966
4 294 756
973 993
1 897 275
Ligne de démarcation, La
1966
1 369 742
248 874
Giardino delle delizie, il (inédit)
1967
Scandale,le
1967
383 071
139 425
945 326
Route de Corinthe,la
1967
443 509
51 562
324 430
Oiseaux vont mourir au Pérou,les
1968
869 426
276 424
Diable sous l'oreiller, le
Un diablo bajo la almohada1969
14 455
790 697
How sweet it is (inédit)
P
1968
1 085 999
Femme infidèle, La
1969
682 295
229 043
888 636
1969
2 341 721
669 480
1 701 410
2 800 000
Delphine
1969
317 432
51 105
Femme écarlate,la
1969
183 921
46 311
250 491
Femmes, les
1969
505 292
102 208
69 739
Dernier saut, le
1970
337 351
66 458
Modification,la
1970
82 446
27 705
27 061
Qui ?
1970
483 167
81 659
605 479
Un peu beaucoup passionnément
1971
158 081
34 655
Raphaël ou le débauché
1971
1 019 586
372 774
54 707
Que fais-tu, grande folle ?
Splendori e miserie di Madame Royale1980
908
53 805
Maison sous les arbres,la
1971
350 204
110 425
739 060
Galets d' Etretat,les
1972
911 279
204 437
615 642
Odeur des fauves,l'
1972
415 354
82 835
Il diavolo nel cervello (inédit)
1972
226 177
Sans sommation
1973
237 969
45 636
Don juan 73
P
1973
949 912
192 152
55 346
La seduzione (inédit)
1973
324 640
Chambre rouge,la
1973
56 656
28 067
Affaire crazy kapo,l'
1973
136 888
29 938
182 618
Marseille contrat
The Marseille ContractP
1974
231 465
65 270
701 200
Commissariat de nuit
Commissariato di notturna1974
60 196
Cri du cœur, le
1974
99 431
Messe dorée, la
1975
80 582
41 742
165 991
Seul le vent connaît la réponse
1975
165 990
48 585
Nuit d'Or
1977
49 449
29 554
Madame Claude
P
1977
1 142 455
404 807
2 197 142
Bartle by
R
1978
7 626
7 138
A l'ombre d'un été
1980
Mort d'un pourri
P
1977
1 854 317
605 767
213 064
Liés par le sang
BloodlineP
1980
115 866
49 543
295 909
5,3 R
Sphinx
SphinxP
1981
101 490
36 199
625 272
Beau père
P
1981
1 197 816
251 056
27 489
Guerillera,la
P
1982
22 674
10 079
2 660
Un matin rouge
P
1982
60 068
23 319
Balance, La
P
1982
4 192 189
1 068 714
299 717
Surprise Party
P
1983
381 884
77 402
P = Participation
En collaboration avec Didier NOISY
Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Rarement comédien aura autant "collé" à ses rôles: dans Ascenseur pour l'échafaud et Le Feu follet, Maurice Ronet semble avant tout interpréter le rôle de Maurice Ronet, mélange de froideur inquiète et d'insondable mélancolie. Trente ans après sa mort, il était temps de rendre hommage à cet acteur mystérieux qui partagea la vedette de Plein Soleil avec Alain Delon. Jean-Pierre Montal s'en acquitte avec délicatesse dans un petit livre inspiré.
Fils de comédien, élève de Bernard Blier, ayant fait ses débuts sous la direction du talentueux Jacques Becker, grand séducteur -Anouk Aimée, Anna Karina, Josephine Chaplin-, Maurice Ronet (1927-1983) a toujours traîné une double réputation: homme de droite et fêtard. À raison. Ce jumeau de Roger Nimier partira même au Mozambique, avec Dominique de Roux, se livrer à un simulacre de contre-guérilla. Pilier de chez Castel, il est aussi capable, en pleine gloire, de filer en Indonésie tourner un documentaire sur les varans de Komodo...
Dans les années 1970, alors que Belmondo et Delon deviennent des superstars, l'ancien jeune premier Ronet s'enlise dans des projets d'adaptations littéraires -Bartleby, Semmelweis (d'après Céline)...- et disparaît des radars du cinéma français. Pourquoi n'a-t-il jamais tourné avec Melville ou Sautet? s'interroge à juste titre Jean-Pierre Montal. Peut-être parce que ce feu follet avait en tête cette phrase qu'il aimait répéter: "On a toujours peur de la réussite, jamais de l'échec."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/biographie-maurice-ronet-les-vies-du-feu-follet_1281360.html#3yGKpBKc9a3v1DhP.99Maurice Ronet débute par hasard au cinéma en 1949. Jeune peintre fréquentant le milieu artistique du quartier parisien de Saint-Germain-des-Prés, il se fait remarquer par le cinéaste Jacques Becker qui cherche de nouvelles têtes pour le tournage de Rendez-vous de juillet. Jusqu'en 1957, il interprète des jeunes premiers, puis Louis Malle lui offre son premier grand rôle dans Ascenseur pour l'échafaud, dans lequel il campe l'amant criminel de Jeanne Moreau. Deux ans plus tard, il confirme son talent avec Plein Soleil de René Clément, face à un autre beau ténébreux, Alain Delon, qu'il retrouve dans La Piscine (1968) de Jacques Deray. Maurice Ronet ne s'enferme pas pour autant dans un registre particulier. Il prête autant ses traits à des victimes humiliées qu'à des assassins inquiétants, comme dans Le Meurtrier (1962) de Claude Autant-Lara. Louis Malle lui fait à nouveau confiance et lui permet d'exercer son talent dans Le feu follet (1963). Claude Chabrol utilise son charme teinté de tristesse (Le Scandale, 1966 ; La Femme infidèle, 1968). Maurice Ronet tourne également aux Etats-Unis (Lost Command, 1965, de Mark Robson ; How Sweet it is, 1968, de Jerry Paris), en Espagne (Le Diable sous l'oreiller, 1967, de José Maria Forque), en Italie (Il Diavolo nel cervello, 1971, de Sergio Sollima) et en Allemagne (Bis zur bitteren Naige, 1974, de Gerd Oswald et Guido Leoni). En 1982, il joue dans un dernier film, La Balance de Bob Swaim.
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Tags : MAURICE RONET, BOX OFFICE, PLEIN SOLEIL, LA PISCINE, LE FEU FOLLET, ASCENSEUR POUR L'ECHAFAUD, ALAIN DELON, LOUIS MALLE
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Commentaires
Bonsoir Fabrice
Très bonne nouvelle pour les brochures du CNC, merci pour avoir insisté auprès de la direction
2fabrice fermentMercredi 9 Octobre 2013 à 18:00salut Renaud, je reviens sur ton site après des années d'absence.
ravi de voir que tu continues à rendre hommage à des artistes qui ont compté mais ... ne comptent plus.
je reste sceptique sur les chiffres d'entrées issus des recopiages approximatifs de Mr Simsi et suis à ta disposition
pour toute correction provenant directement de la cave du CNC que tu connais et qui reste la seule source officielle.
je précise pour les nouveaux que je travaille au CNC depuis 2007, que j'ai publié des brochures sur les BO de 1962 à 1959.
d'ailleurs notre nouvelle direction m'a donne le feu vert pour les brochures 1958 à 1956 en 2014.
Fabrice
1adda chentoufVendredi 4 Octobre 2013 à 22:05Excellent acteur au physique avantageux, Ronet n'a pas eu pour autant la carrière qu'il méritait. Il a eu ( d'aprés nos ainés )son heure de gloire en Algérie dans les années 60 durant lesquelles il jouissait d'une bonne popularité. Pour ma part je me rappelle certains de ses films distribués dans les années 70 notamment "sans sommation","les galets d'Etreta","la maison sous les arbres" , "qui?" et "seul le vent connait la réponse"( quel joli titre!) qui ont bien marché au BO, le plus grand succès étant "Marseille contrat"qui réunissait A. QUINN, M.CAINE, J.MASON et M.BOZZUFFI .Distribué en 1980, ce polar signé Robert Parrich a fait un tabac chez nous alors qu'en France ce fut un bide cuisant. je l'ai recemment revu dans le remarquable "la femme infidèle"de Chabrol bien qu'il n'y tient qu'un rôle secondaire. Sa scène avec M.BOUQUET , bien que courte,est magnifique.
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Bonjour Fabrice,
Bienvenue de nouveau sur le blog de Renaud, dont tu as longtemps été le contributeur.
Pour te répondre, tous les résultats des films de moins de 500 000 que tu peux voir apparaître dans les tableaux récapitulatifs des acteurs ou des Box-offices annuels, ne proviennent pas de Mr Simsi, puisqu'il ne les a pas publié (hormis ceux figurants dans le 1er tome), mais du CNC.
Comme tu le dis toi-même, la seule source fiable et officielle.