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    LES 7 MERCENAIRES

    (THE MAGNIFICENT SEVEN)

    23 OCTOBRE 1960 (USA)

    1er FEVRIER 1961 

     

     

     

    LES SEPT MERCENAIRES - BOX OFFICE CHARLES BRONSON 1961

     

     

    • Réalisation : John Sturges
    • Scénario : William Roberts, Walter Newman, Walter Bernstein, d'après le film Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa
    • Dialogues : Thom Conroy
    • Musique : Elmer Bernstein
    • Photographie : Charles Lang Jr.
    • Sociétés de production : Mirisch Company
    • Producteurs : John Sturges, Walter Mirisch et Lou Morheim
    • Distributeur : United Artists
    • Budget : 3 000 000 $
    • Format : Couleur (De Luxe) - 2.35:1 en Panavision- Mono (Westrex Recording System) - 35 mm
    • Durée : 128 minutes
    • Tournage: 01/03/60 - 30/04/60
    • Yul Brynner (VF : Georges Aminel) : Chris Adams, le chef des sept mercenaires
    • Steve McQueen (VF : Henry Djanik) : Vin Tanner, le bras droit de Chris
    • Horst Buchholz (VF : Michel François) : Chico, le plus jeune des sept mercenaires
    • Charles Bronson (VF : Gérald Castrix) : Bernardo O'Reilly, le mercenaire irlando-mexicain
    • Robert Vaughn (VF : Roger Rudel) : Lee, le mercenaire traqué par les forces de l'ordre
    • James Coburn (VF : Jean Violette) : Britt, le mercenaire-lanceur de couteaux
    • Brad Dexter (VF : Claude Bertrand) : Harry Luck, le mercenaire cupide
    • Eli Wallach (VF : Jacques Dynam) : Calvera, le chef des quarante bandits

     

    Au XIXe siècle, au nord du Mexique, un petit village de paysans reçoit régulièrement la visite de Calvera et de ses quarante bandidos. À l'occasion de leur dernière venue, ces derniers ont de nouveau pillé le village et ont annoncé leur prochain retour où le pillage sera plus important, les bandits fuyant la police rurale et devant acquérir des provisions pour se cacher dans la montagne pendant l'hiver à venir. Un paysan qui s'était rebellé est abattu par Calvera. C'en est trop. Aussitôt après son départ, les villageois se réunissent et décident d'agir pour ne plus subir les exactions des bandits. Après avoir pris conseil auprès du vieux sage du village, ils décident d'acheter des armes pour se défendre. Trois hommes sont envoyés aux États-Unis, non loin de là, pour effectuer les achats avec le peu d'argent qu'ils ont pu réunir. La première ville dans laquelle ils s'arrêtent leur permet de faire la connaissance de Chris Adams, un homme solitaire et bon tireur. Après avoir entendu leur problème, Chris les guide vers une autre piste. Au lieu d'acheter des armes dont, de toute façon, ils seraient incapables de correctement se servir, plus habitués aux travaux des champs qu'à la bataille, ils feraient mieux de louer les services de mercenaires. C'est ainsi qu'ils recrutent, toujours avec l'aide de Chris, le premier engagé, six autres hommes. Tous ces mercenaires acceptent pour une raison bien légitime et propre à chacun : l'un pense que Chris flaire un bon coup financier, un autre suit pour se trouver enfin un but honorable à accomplir, le suivant croit fuir les ennuis en changeant de pays mais pour mieux se jeter dans la bataille, encore un autre est si habile tireur et avec toute arme qu'il accepte par pur défi personnel pour se trouver des ennemis dignes de ce nom, le dernier est sans le sou et se dit que ce maigre salaire est toujours mieux que rien…En cheminant vers le village, ils acceptent un septième et dernier compagnon d'armes, un jeune homme qui les convainc par sa ténacité et son envie de prouver sa valeur. Les sept mercenaires sont réunis. Dès lors il ne leur reste plus qu'à préparer le village et ses habitants à la bataille à venir.

     

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    Il serait peut être temps de reconnaitre la place de John STURGES dans le gotha des meilleurs réalisateurs américains. Si dans les années 70 sa fin de carrière fut dédiée aux séries B il n'en était pas moins au début des années 60 un réalisateur aussi puissant que William WYLER ou Robert WISE, sans avoir les honneurs d'un John FORD par exemple. Son goût de proposer des films bien produits, bien joués et surtout distrayant le public est exemplaire. L'exemple des "7 mercenaires" est probant. A la fin des années 50, STURGES a déjà proposé quelques classiques comme "Un homme est passé" ou "Le dernier train de Gun Hill" et évidemment "Règlement de comptes à O.K Corral" qui ont de plus, fort bien marché au Box office mondial. Généralement présenté comme un spécialiste des westerns de qualité, il va faire honneur à sa réputation.

    Pendant longtemps "Les 7 mercenaires" va être considéré par la critique comme un sous "7 samouraïs de Kurosawa". Et alors ? Le cinéma n'a jamais cessé d'être nourri par ses propres mythes et se recycle souvent pour avancer. Alors oui, la trame de film est ultra simple, mais aussi ultra efficace. Une bande de paysans mexicains embauche des mercenaires pour se débarrasser d'une bande de pillards. Point. Maintenant, il convient au réalisateur de faire un bon film autour de ce simple pitch.

    On le découvrira plus tard mais STURGES est un sacré bon directeur d'acteurs et, justement, va construire le succès de son film autour de ses acteurs. Budget oblige, le casting sera composé d'acteurs de second plan autour de sa grande star : Yul BRYNNER. En 1960, l'acteur est au firmament de sa gloire et ses succès internationaux sont immenses : "Les dix commandements", "Le Roi et moi", "Anastasia", "Les frères Karamazov", "Salomon et la Reine de Saba" ça pose au homme !

    Yul BRYNNER va jouer le rôle de Chris, le chef des mercenaires, celui qui va constituer le groupe. En tant que star du film, l'acteur exige un droit de regard sur le recrutement des acteurs qui vont l'accompagner par STURGES. Comme "premier second rôle" BRYNNER est d'accord pour embaucher le prometteur Steve McQUEEN dans le rôle de Vin, le lieutenant de Chris. Etant donné que depuis quelques années les séries télévisées de type western remplacent petit à petit les westerns sur grand écran, le réalisateur va puiser largement dans ce vivier peu onéreux. McQUEEN joue depuis 1958 dans la série "Au nom de la Loi" le rôle de Joss Randall qui le rendra très populaire en France. Il est jeune, charismatique et a des dents qui rayent le parquet. La légende veut que l'acteur étant lié à la série télévisée simulera un accident pour pouvoir intégrer le tournage du film. Du reste, durant le tournage, BRYNNER sera agacé par le comportement de McQUEEN qui cherche à lui voler la vedette en accumulant les petits gestes furtifs et des tics pour attirer l'attention sur lui. La star, c'est BRYNNER et personne d'autre. McQUEEN le détestera cordialement et les relations seront pour le moins houleuses entre les deux acteurs sur le tournage.

    STURGES engage Charles BRONSON qui a déjà une solide expérience dans rôles de troisième couteau dans de grosses productions. Lui aussi travaille pour la télévision en ces temps de disette cinématographique. Il figure dans les 30 épisodes de "The man with the camera" et dans d'autres séries. Le réalisateur bénéficie d'un acteur expérimenté, pas très cher et doté d'un impact physique indéniable. Il jouera le rôle de Bernardo O'Reilly métis mexico-irlandais qui lui aussi a des origines paysannes. Ce sera l'homme fort du groupe.

    STURGES cherche également un acteur qui ressemblerait à Gary COOPER. Son choix se pose sur un autre acteur issu de la télévision, James COBURN. L'acteur qui bénéficie d'un visage émacié des plus impressionnants déploie son mètre 88 pour camper un personnage fascinant, un as du pistolet et du couteau des plus monolithique.

    Cela fait déjà cinq ans que Robert VAUGHN végète à la télévision dans une pléthore de séries en attendant mieux. C'est une aubaine pour lui de tourner dans cette production où il joue le rôle de Lee, le dandy pistolero qui hélas, traverse une mauvaise passe et devient un lâche qui se cache.

    Sans doute le moins connu de tous, Brad DEXTER lui aussi issue de shows westerns télévisuels campe un mercenaire très intéressé par l'argent.

    Etant donné que le récit inclue inévitablement une romance entre un des mercenaires et une jolie paysanne mexicaine, il convient de trouver un acteur plutôt beau gosse. C'est le portrait de Horst BUCHHOLZ vedette du cinéma allemand qui va trouver là l'occasion de trouver un public international. A lui le rôle de Chico, le trop fougueux et intrépide mercenaire qui va apprendre le "métier" avec ses compagnons.

    Pour qu'un film soit réussi, il convient d'avoir un bon "méchant". Dans le rôle de Calvera nous retrouvons Eli WALLACH qui, a 45 ans, est déjà bien installé dans le paysage audiovisuel américain. Il a en effet figuré dans des dizaines de pièces de théâtre diffusées à la télévision. Il s'est même fait au remarquer au cinéma dans "Baby Doll" de Elia KAZAN.

    On peut souligner le flair de STURGES qui s'offre pour peu de frais des seconds couteaux de talent. Six ans après, il n'aurait pas pu s'offrir la moitié du casting. Reste à lui de ne pas gâcher pareille matière.

    Il va proposer un film à l'intrigue limpide et à la réalisation solide même si sans audace. Qui plus est les autorités mexicaines ont autorisé le tournage du film au Mexique à la condition que les paysans soient mis en valeur. De fait la copie semble très clean. Les tenues des acteurs sont impeccables, même en pleine chaleur. Les pauvres vêtements des paysans semblent être sortis du pressing et sont d'un blanc resplendissant et immaculés. Cela n'empêche pas le plaisir de découvrir l'intrigue. La première partie présente la prise du village des paysans par Caldera et ses 40 renégats. Eli WALLACH qui vient de l'Actors studio et possède une sacrée formation théâtrale compose un bandit haut en couleurs. Cabotinant largement il rend son personnage facilement compréhensible au yeux du public et utilise toute une gamme de mimiques et d'exagérations gestuelles pour composer le méchant bandit. A nul doute son jeu exubérant a du influencer d'autres acteurs de l'Actors Studio tels Robert De Niro, jamais avare de tics pour se forger une personnalité. Et bien sûr, il est évident que la composition de l'acteur a plu a Sergio LEONE qui lui offrira un de ses plus beaux rôles dans "Le Bon, la brute et le truand" en 1966.

    Des émissaires du village sont envoyés recruter pour une somme dérisoire des mercenaires qui accepteront de les aider, et pour une somme dérisoire de surcroit. Arrivés en ville, ils sont témoins d'un évènement. Deux hommes, Chris et Vin vont emmener au cimetière local le corps d'un indien contre la vindicte populaire. Conduisant le corbillard, Chris va jouer du pistolet contre quelques hommes armés. Vêtu d'un jean et d'une chemise noire cintrée, Yul BRYNNER impressionne par son charisme habituel, jouant du regard. Les gestes sûrs, Chris est sûr de lui, c'est un homme que la peur n'atteint pas. C'est le leader naturel du groupe. Le look qu'arbore BRYNNER sera repris dans "Mondwest" où jouant un robot, il parodie la tenue qui l'a rendu célèbre.

    Sans trop qu'on sache pourquoi, Chris est attendri par la démarche des paysans. Pour une fois, peut être accomplira-t-il une mission "pour la gloire" pour être utile à quelque chose. Reste à convaincre d'autres personnes de le rejoindre. C'est l'occasion pour STURGES d'organiser des sketchs plus ou moins longs pour présenter chacun des 5 mercenaires suivants. Le segment le plus impressionnant est sans doute la scène inoubliable où James COBURN apparait. De prime abord, c'est un échalas lymphatique. Faisant la sieste, il est harcelé par un crétin de la ville qui veut vérifier s'il est aussi rapide que sa réputation le dit. Bonne pomme, Britt fait croire à son opposant qu'il a perdu, mais l'autre insiste et veut un vrai duel. Avant de dire ouf, Britt lui a planté son couteau dans le cœur à la vitesse d'un cobra. Un scène impressionnante grâce au physique incroyable de COBURN au visage émacié et au regard froid.

    Charles BRONSON interprète un gars peu causant, costaud et qui se dit qu'une somme dérisoire c'est déjà cela.

    Robert VAUGHN est cynique. Bien sapé, il se cache traqué par quelques ennemis inconnus. La peur l'habite désormais et ne cherche qu'à se cacher. Faire semblant de vouloir aider les paysans est un moyen de gagner du temps.

    Harry LUCK est présenté plus succinctement. C'est un brave gars brut de décoffrage qui veut croire à un trésor caché au sein du village des paysans. Reste Chico, admiratif, jeune impétueux qui a observé Chris lors de la scène du cimetière. Vexé, manquant d'expérience, il n'est pas recruté par Chris. Chico, aviné, le menace avant de s'écrouler ivre mort. Il saura le long de la route se rendre sympathique par sa ténacité. la force de la jeunesse en somme.

    Déjà une heure de passé et il y a peu d'action finalement, et pourtant le film file vite grâce à la personnalité des mercenaires. La dimension psychologique va l'emporter sur l'action. Chaque mercenaire va découvrir quelque chose au sein du village. Peut être une raison d'exister tout simplement. Vin se lie avec le chef du village, Chris avec le patriarche. Bernardo se lie avec 3 enfants qui l'admirent, il devient leur grand frère protecteur, bon gré mal gré, le cœur de cet homme bourru s'ouvre. Chico lui trouve la cachette où se terre les femmes du village. Pétra une jeune femme du village ne manque pas de courage et sa fougue va évidemment emporter le cœur de Chico. Les bêtises de Chico causent la mort d'éclaireurs de la bande de Calvera. Cet incident donne lieu à une scène restée fameuse. Un des sbires de Calvéra s'enfuit à cheval et Britt vise sa cible qui se trouve à des dizaines de mètres de lui et abat le cavalier. Admiratif, Chico s'écrie que c'est le plus beau tir d'élite qu'il a vu. En colère Britt déclare "C'est le pire au contraire...Je visais le cheval !" !

    La première manche est remportée par les mercenaires qui bénéficient de l'effet de surprise. Mais alors qu'ils pensent éliminer de nuit le reste de la troupe, Chris tombe dans un piège. Calvéra a investit le village pendant leur absence. Les villageois n'ont montré aucun signes de résistance, malgré la formation de Chris et ses hommes. Les mercenaires sont à la merci de Calvéra, "trahis" par les villageois. Beaucoup plus stratège que prévu, ce dernier laisse Chris et ses hommes libres de partir, car il craint des représailles futures par d'hypothétiques amis du groupe. Grâce au talent d'Eli WALLACH Calvéra se révèle bon tacticien et finalement relativement sympathique. Ce sont des scènes intéressantes, car quelque part, Calvéra est influencé par la condition d'hommes blancs dominateurs issus de villes "riches", si les mercenaires étaient issus de la minorité mexicaine, nul doute qu'ils auraient été exécutés. Ils ont bénéficié du "respect" de Calvéra.

    Contre toute attente, les mercenaires se décident à affronter Calvéra, par surprise, une sorte de mission suicide, pour plein de bonnes et aussi mauvaises raisons. Le gunfight final verra 4 des mercenaires tomber pour la bonne cause. Harry, dont on se fiche un peu meurt dans les bras de Chris qui lui ment en lui disant que le sol paysan était gorgé d'or. Britt, meurt au combat et lance son couteau pour la dernière fois en rendant son dernier souffle. Dominant sa peur panique, Lee, meurt dans un magnifique baroud d'honneur où il massacre une partie des bandits. Enfin, la mort que personne n'a oublié. Charles BRONSON est bouleversant dans le rôle de Bernardo qui meurt en protégeant les 3 enfants qui l'admirent tant. Pour toujours, Bernardo restera leur héros, un libérateur intrépide. Chico, lui, fait preuve d'un courage et d'une fougue remarquable et décime à lui seul une bonne partie des bandits. Chris s'occupe d'éliminer Calvéra qui n'a aucune chance arme au poing face à lui, il meurt dans l'incrédulité : "pourquoi sauver ces paysans ?"

    Chris et Vin repartent seuls vers de nouveaux contrats, Chico lui, succombe aux sirènes de l'amour et va rester au village. "On perd toujours" dit Chris pour clôturer le film.

    John STURGES réalise donc un sans faute qui reste intemporel. Avec le temps le film va gagner ses galons de grand classique et se démarquera définitivement de son étiquette de "Sous 7 samouraï". C'est une réussite majeure qui doit avant tout à son casting infernal.

    Et que serait un classique sans une magnifique bande musicale ? Comme un fait exprès Elmer Bernstein compose une musique inoubliable identifiable dès les premières mesures. L'artiste est dans une forme impériale avant de composer la musique de "West Side Story", rien que ça.

    Le film marche bien aux USA mais sans causer de ravages, soit un peu plus de 2 millions de dollars de revenus pour les studios (on parle de "rentals"). Les westerns sont un peu passé de mode. C'est bien à l'international que le film va cartonner prenant sans coup férir la première place des exclusivités à Paris lors de sa sortie et s'y tenir. Après une belle exclusivité le film va se classe 13ème du box office annuel en France avec 2.8 millions d'entrées, un score remarquable pour un western. Mais le film ne va jamais vraiment cesser de tourner dans les cinémas de l'Hexagone, sa réputation ne cessant de grandir années après années. Le film connait une seconde très belle exploitation en 1970. Au total le film a largement dépassé les 7 millions de spectateurs en faisant un des westerns les plus vus de l'histoire du cinéma français. En Espagne, en Italie ou en Angleterre le succès aura été massif également. Cette très grande réussite commerciale et cette exposition mondiale va en profiter à tous les acteurs.

    Très paradoxalement, le cauchemar de Yul BRYNNER va se réaliser. Son étoile va pâlir et au fur et à mesure l'acteur ne va plus tourner que dans des séries B de moins en moins ambitieuses même si son nom demeure très connu dans le monde. Et c'est bien son rival Steve McQueen qui va devenir progressivement la superstar du cinéma mondial. En 1966, Yul BRYNNER qui a bien besoin de redorer son blason, fait appel à Steve McQUEEN pour tourner "Le retour des 7 mercenaires" mais ce dernier décline l'invitation car "son cheval ne peut se déplacer aussi loin pour le tournage".

    Charles BRONSON et James COBURN se retrouveront en 1963 dans la nouvelle superproduction de John STURGES "La grande évasion". dont Steve McQUEEN est la tête d'affiche ! Soit la moitié du casting des "7 mernaires". Pour Charles BRONSON cela semble la fin de la galère, son personnage ayant attendri les spectateurs du monde entier. Par sa composition il prouve qu'il peut être aussi un acteur sous sa musculature imposante.

    Horst BUCHHOLZ va confirmer son statut ( il faut absolument le voir en officier nazi dans "Le sauveur") et Robert VAUGHN va devenir une star du petit écran. Quand à Brad DEXTER il poursuivra une bonne carrière dans de bonnes séries B.

    Evidemment Eli WALLACH va trouver d'autres rôles légendaires.

    "Les 7 mercenaires" reste un western familial à voir et à revoir dès que la télévision le diffuse, ce qui est assez fréquent. Un classique.

     

     

     

    CATEGORIE

    RANG

    NOMBRE

    SALLES

    ENTREES FRANCE

     

    7 036 592

     

    ENTREES France 1961

    13

    2 813 531

     

    ENTREES FRANCE 1970-71

     

    1 770 000

     

    ENTREES FRANCE 1975-76

     

    616 000

     

    Moyenne salles Paris 1ère sem

     

    9 598

     

    Budget

     

    3M$

     

    Rentals US 1960

     

    2M$

     

    Cote du succès

     

    * * * * *

     

     

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